Apparemment les autorités s'insurgent contre l'extension inexorable de la sphère de la quasi-gratuité en ce qui concerne le domaine du numérique. ils veulent recrée artificiellement "la marchandise culturel" alors que le développement même de leurs technologies (le numérique) ont fait de ces biens : des biens universels, conviviaux et in-excluable... tout simplement parce que leurs coûts de reproduction tendent inexorablement vers zéro et qu'on ne peut empêcher quelqu'un d'en profiter même si des millions d'autres l'utilise en même temps. L'argument du meurtre des artistes ne tient pas, l'industrie culturel "payante" ne s'est jamais aussi bien porté, tout simplement parce que les spectacles vivants sont uniques, et quand payant plus cher pour eux, ont payent en quelque sorte notre droit d'accès à tout le reste, aux biens communautaires et universels. Il ne manque plus que la "socialisation des coûts" (autre mot de la gratuité) de la production artistique et des supports de lecture de ses biens (accès aux réseaux) et pour ça on a jamais mieux fait que l'état. Tanpis pour la marchandise, la tendance historique est à la gratuité. Merci à Redlist, Merci au Réseaux Social de partage et de convialité. Le téléchargement gratuit c'est un bien commun que dans la période nous devrons défendre, ce n'est pas du vol... Non, le vol c'est la Fnac.
Pourquoi payerons-nous quelque chose qui ne coûte rien à ne reproduire ? la société numérique est une société d'abondance !

Evidemment, cela ne vaut pas pour les tomates et les maisons, pour tout le reste il y a eurocard mastercard, le syndicat CGT et le PCF !

Peace.