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Films / Thrauma
4.33/10
(6 notes)
Réalisé par Gianni Martucci
Avec Gaetano Russo, Domitilla Cavazza, Roberto Posse, Timothy Wood, Franco Diogene, Per Holgher et Silvia Mauri

Année de production : 1980
Date de sortie : inconnue
Durée : inconnue

Genres : Epouvante-horreur
Un groupe d'amis décide de passer le week-end dans une villa isolée. Mais une atmosphére morbide les étreinds dès leurs arrivée, accentuée par la mort de l'un d'entre eux, dans d'effroyable circonstances. Une seule issue, la fuite! Mais l'ombre qui régne dans cette maison ne veut pas les laisser partir...
Jaquettes / Images du film
Commentaires - 3 éléments
hcar1 le 2013-04-30 11:09:50
micka ! je suis parfois sympa nan ?
hcar1 le 2013-04-05 20:18:10
Merci pour le up
hcar1 le 2013-04-05 20:18:00
Lorsqu'en 1978 sort Halloween et qu'il triomphe, la mode du slasher prend son envol. Merci Black Christmas quand même (1974). Suivront quelques productions mythiques et un nombre incalculable de bouses de vache. En 1980 arrive Vendredi 13 et ce Demence, venant d'Italie, étrange bobine qui marrie le giallo à la Dario Argento et le slasher basique. Thrauma est un métrage qui a considérablement vieilli, qui sent mauvais l'amateurisme et se distingue surtout par...la plastique d'Olga (Anna Maria Chiatante) ^^

Un couple vient d'acheter une propriété en pleine campagne et en a profité pour inviter des amis. Dans ce lieu champêtre, on s'amuse, on s'engueule, on prend des photos...et on meurt. Car l'endroit abrite non loin de là un méchant garçon au physique particulier et qu'il est pas content contre tout le monde !...

Intercalé entre deux oeuvre majeures du genre, Vendredi 13, donc, de Sean S. Cunningham et The Burning de Tony Maylam, Demence s'aventure dans le slasher classique et le thriller horrifique. Loin d'être maîtrisé, l'on remarquera une tendance à l'utilisation de dialogues déroutants (les comédiens durent s'amuser...de dépit), un jeu pitoyable (mention j'en ai rien à foutre à tous les acteurs et actrices) et une mise en scène très pauvre. Entre une caméra subjective censée alimenter l'angoisse (grand lol) et des effets de tension à deux sous, on arrive sans peine dans la série z la plus sympathique. Las, on ne va pas regarder un film d'horreur pour rire...enfin, je crois. Demence, en outre, avec son twist que j'avais deviné sans avoir vu le film (on appelle ça la prescience) finira d'achever mon indulgence. Une production kitsch (cf le générique disco, et j'aime cette musique attention !) et ratée. 1/5 (très mauvais)