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Acteurs / Amira Casar

Amira Casar est une actrice française d'origines russe et kurde, née le 1er mai 1971 à Londres.

Biographie

Kurde par son père, russe par sa grand-mère, née en Angleterre, Amira Casar a passé son enfance entre la Grande-Bretagne, l’Irlande et la France1. Elle est formée au théâtre par Blanche Salant et Paul Weaver et complète sa formation au Conservatoire National d’Art Dramatique, de 1991 à 1994. La carrière d’Amira Casar au cinéma traverse des univers personnels, exigeants et éclectiques ; allant des mythiques Frères Quay en Angleterre à La vérité si je mens 1 et 2 de Thomas Gilou, et des cinéastes tels que Catherine Breillat, Laëtitia Masson, les Frères Larrieu ou Tony Gatlif. Au théâtre elle a joué le rôle de l’unique femme, Ans, dans Les enfants de Saturne d'Olivier Py au Théâtre National de l’Odéon. Elle a interprété le personnage de Hedda Gabler d’Ibsen au Petit Théâtre de Paris et a joué à l’Almeida Theater de Londres Aunt Dan and Lemon de Wallace Shawn mis en scène par Tom Cairns.

Carrière cinématographique

En 1989, elle s'inscrit aux Cours Florent[réf. souhaitée] où elle est formée au théâtre par Blanche Salant et Paul Weaver. Elle complète sa formation de 1991 à 1994, au Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris qui accepte quelques stagiaires étrangers chaque année.

La carrière d’Amira Casar au cinéma traverse des univers personnels, exigeants et éclectiques ; allant des mythiques Frères Quay en Angleterre à « La Vérité si je mens ! » 1 et 2 de Thomas Gilou, et des cinéastes tels que Catherine Breillat, Laëtitia Masson, les Frères Larrieu ou Tony Gatlif.

Récemment, le monde poétique et théâtral de l’Allemand Werner Schroeter avec « Nuit de chien », ou encore Carlos Saura où elle interprétera plusieurs rôles de femmes populaires en espagnol. En 2009 nous l’avons vu dans « Gamines » de Eléonore Faucher. En 2011 nous la verrons dans le rôle titre de « Dora Maar : la femme qui pleure au chapeau rouge » et dans « Playoff », tourné en langue anglaise, de Eran Riklis, « La Vérité si je mens ! » 3 et « Let my people go » du jeune cinéaste Michael Buch.

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