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Films / Antiviral
6.15/10
(52 notes)
Réalisé par Brandon Cronenberg
Avec Caleb Landry Jones (Syd March), Sarah Gadon (Hannah Geist), Malcolm McDowell (Dr Abendroth), Douglas Smith (Edward Porris), Joe Pingue (Arvid) et Nicholas Campbell (Dorian)

Année de production : 2012
Date de sortie : 19 mai 2012
Durée : 1 heure 50 minutes

Genres : Thriller, Science fiction, Fantastique
Pays : Etats-Unis, Canada

La communion des fans avec leurs idoles ne connait plus de limites. Syd March est employé d'une clinique spécialisée dans la vente et l'injection de virus ayant infecté des célébrités. Mais il vend aussi ces échantillons pour son propre compte, à de puissantes organisations criminelles. Sa méthode pour déjouer les contrôles de la clinique : s'injecter les virus à lui-même. Mais ce procédé va s'avérer doublement dangereux : porteur du germe mortel ayant contaminé la star Hannah Geist, Syd devient une cible pour les collectionneurs...
Vidéos du film
Commentaires - 5 éléments
Pandore76 le 2013-06-19 15:28:39
j'ai trouvé ce morceau de film ... bof
Estebal le 2013-06-11 00:03:39
C'était pas mal oui..
tishnooka le 2013-03-23 18:27:41
Je lui décernerai bien le prix du meilleur scénario !!!!

Wouaouh sera mon seul commentaire ihih !

Film d'auteur car étrange, à part, surréaliste et peut être un peu prémonitoire ...


9/10 j'ai adoré !
benicio le 2013-03-21 11:14:45
C'est bien le fils de son père!J'ai pas aimé mais faut avouer que le coté artistique est flagrant et assez ésthetique après le film en lui meme bof!étrange je dirais 4/10
hcar1 le 2013-03-16 17:45:46
J'attendais avec impatience la bobine du fils de David Cronenberg. Sélectionnée à Cannes dans la catégorie Un Certain Regard et à la vue de certaines critiques, je sentais la curiosité m'envahir. Cet Antiviral prouve, malgré quelques points noirs, que Brandon Cronenberg n'est pas un manche et que le cinéma de genre peut compter sur lui. Loin des canons commerciaux, dans la droite ligne de papa, sa bobine s'affranchit de toutes compromissions.

Syd March est un technicien qui officie au sein de la clinique Lucas. Celle-ci a fait fortune en inoculant des virus de stars à des fans transis. Syd lui-même s'en injecte et revend le tout au marché noir. Un jour, après qu'il s'est fait une piqûre, il apprend qu'il est en danger de mort. Commence pour lui une descente en enfer pour tenter de se sauver...

Antiviral en jette esthétiquement : c'est bien filmé, le cadrage est clair, il jouit de l'excellent travail du directeur de la photographie Karim Hussain qui avait bossé sur un segment du The Theatre Bizarre. Le mec a du talent, pas de doute. Antiviral a choisi le ton blanc, morne qui est un écho au physique de son personnage principal. Astucieux. Le métrage de Cronenberg fils a, en outre, une base solide : son histoire, originale. La réflexion sur la passion qu'engendre les stars est traitée avec force intelligence. De même, la direction d'acteurs est un point qui joue en faveur du film. Mais, la pellicule s'embourbe dans un récit austère, froid comme la mort, ce qui peut rebuter si l'on est pas patient. Antiviral joue donc sur une distance pour le moins audacieuse et, à dire vrai, Brandon fait florès. J'attends ta prochaine oeuvre avec intérêt Brandon. 3/5 (pas mal)